fbpx
Devenir membre

L’heureuse double vie de glenn b. miller

Le type a la carrure, le look et l’entregent d’une vedette de cinéma. Son sourire est dévastateur. Et si on reprend le cliché de celui dont on dit qu’il mord dans la vie à pleines dents, il en est la parfaite incarnation. Son cellulaire sonne en permanence. C’est qu’il est recherché pour financer des entreprises de tous genres pour toutes sortes de raisons. Glenn B. Miller est président et fondateur de MBG Finance. Il a été huit ans auparavant vice-président au développement des affaires du holding financier au sein du Mouvement Desjardins.

On l’adorait, et lui a aimé son passage dans l’institution, mais il avait le goût de plus grands défis. « En 2002 j’ai fondé Emergia Capital, une firme spécialisée dans le refinancement des compagnies en difficulté. C’est sept ans plus tard que la raison sociale deviendra celle qu’elle est présentement. » Il s’est constitué un portefeuille en millions de dollars qu’il administre avec le flair de celui qui sait dénicher de belles opportunités. Là où les banques se montrent frileuses, lui il fonce. « Il faut risquer, ne pas avoir peur. Disons qu’avant que j’intervienne je procède à des analyses solides de l’historique de l’entreprise et de son plan de relance ou projet quelconque. »

MBG Finance est structurée à la manière d’un fond privé qui soutient les propriétaires d’entreprises, les PDG, et les actionnaires de sociétés des secteurs des finances et de la reorganisation opérationnelle, de la disposition d’actifs, de la gouvernance, des fusions et des acquisitions. Son expertise a atteint un tel niveau de respectabilité, qu’il est depuis trois ans mentor et conférencier invité au programme de MBA de l’Université McGill.

AVEC LA MÉTROPOLE

Un concours de circonstances va mettre en contact Glenn B. Miller avec Stéphane Maestro, l’éditeur du Journal Métropole et du Portail d’information citoyen LaMetropole.com. Le financier aime le média et est particulièrement touché par le fait qu’il est un rare Média indépendant dans le paysage, outre Le Devoir. Et il salue aussi cette mission d’être du côté des citoyens et des commerçants aux prises avec des gouvernements et des administrations sans âme. « J’ai donc rencontré votre éditeur, et une belle chimie s’est installée. J’ai eu le goût de m’impliquer, même si mon agenda est démentiel. Mais ça vaut le coût, car l’avenir est prometteur. » 

La première rencontre s’est si bien passée qu’elle a été suivi de d’autres, jusqu’à ce qu’il soit invité à devenir un membre du comité exécutif de LaMetropole.com Car cette dernière est confrontée à des défis nouveaux à l’heure des grands bouleversements en information. « Mon rôle c’est de regarder les attentes de Maestro Média, de s’organiser pour que les rêves deviennent réalité », dit M. Miller.



LE MÉCÈNE

S’il passe le plus clair de ses journées à lire des rapports financiers et à discuter au téléphone, il a une soupape de passion sous la forme de l’amour qu’il a pour le travail d’une artiste peintre, Lisabel. Il a tellement aimé ce qu’elle fait qu’il en est également tombé amoureux et l’a épousée. C’est lui qui va dès lors devenir son agent et partenaire, et voir à la reconnaissance du travail de sa bien-aimée. Et ça n’a pas tardé. « Ce que je n’aime pas dans le monde des arts, c’est qu’on est resté à une approche d’un autre siècle.

Les galeristes et les institutions muséales ont conservé la même attitude vis-à-vis des artistes, les exploitants très souvent. Ensuite le mode de mise en marché n’a bougé depuis des lustres. Je suis venu à la conclusion qu’il faut faire changer tout ça ». Et quand il dit qu’il faut que ça change… La preuve, la décoration d’une Lamborghini ou le dessous d’un couvercle d’un piano Steinway. Pour chacun de ces objets de luxe peints, ça donne de la valeur ajoutée. Car la galerie Lisabel sur la rue Ottawa, dans le quartier huppé de Griffintown, est devenue un lieu couru.

On y organise régulièrement des réceptions d’entreprises. Et celles-ci adorent l’idée d’y tenir des coktails dans un décor aussi flamboyant. Car les toiles de cette femme à l’immense talent, et d’une rare beauté elle-même, ont toutes quelque chose de sensuel, peu importe la thématique choisie. Des couleurs vives mises en relief par des vernis brillants.  La cote de Lisabel a pris son envol comme le souhaitait le mécène. De sorte que posséder un Lisabel dans son salon est maintenant devenu un symbole de réussite sociale.

La Métropole est honoré de compter dans ses rangs la venue de  Glenn B. Miller et profitera à plein de ses conseils avisés. Avec lui, votre média d’information citoyen LaMetropole.com envisage des lendemains prometteurs. Et pour notre mentor c’est un univers qui l’enchante car même en finance, la communication est essentielle.

  

LISABEL.CA

MBG FINANCE


GLENN B. MILLER’S HAPPY DOUBLE LIFE

Tuesday, July 8, 2014

This could be a nice novel or movie title, but this is in fact the reality of a financier and patrongiving equal importance to finance as to an artist who is anything but ordinary !

The man has the stature, looks, and outgoing personality of a movie star. Projecting a devastating smile, he is the perfect incarnation of someone living life to the fullest. His cell phone keeps ringing non-stop ,as people are looking for him to fund businesses of all types, for various reasons. Glenn B. Milleris president and founder of MBG Finance. He previously spent eight years as Vice President, Business Development in a Financial Holding of a large Canadian bank.

We loved him, and he also enjoyed working with us, but he was seeking bigger challenges told bank executives .“In 2002,I funded Emergia Capital, a firm specializing in corporate renewal and distressed debt. Seven years later, the corporate name became what it currently is.”He built himself a multi-million dollar portfolio he manageswith the flair of someone having the talent for finding great opportunities. Where banks are more cautious, he just goes for it. “You have to take risk ,and not to be scared. Prior to take action, I conduct in-depth analysis of the company’s history, and of its economic recovery plan or any other projects to be funded.”

MBG Finance operates as a asset base bridge fund to assist business owners, CEO’s and shareholders of companiesin the areas of financial and operational reorganization, asset disposition, governance, and mergers & acquisitions. His expertise has reached such a high level of respectability that he now is in his third year as a Mentor and Guest Lecturer at McGill University’s MBA Program.

WITH LA MÉTROPOLE

A concurrence of circumstances will put Glenn B. Millerin touch with Stéphane Maestro, editor for Journal Métropole and LaMetropole.com (a public information portal). The financier likes the media, and is particularly impressed by the fact that it is one of the rare independent media around, besides Le Devoir.He also praises the fact that it is on the side of citizens, and retailers dealing with soulless governments and administrations. “I met with your editor, and a great chemistry quickly settled. I wanted to get more involved, even if my work schedule is insane. It’s worth it, since the future looks bright ahead.”

The first meeting went so well, it was followed by further ones, until he was invited to become a member of LaMetropole.com’s executive committee, since it is facing new challengesat a time where information is undergoing great changes. “My role is to examine Maestro Média’s strategic direction ,and to ensure that we are prepared for to meet our business objectives in this changing environment ”, says Mr. Miller.

THE PATRON

Even though he spends the most part of his days reading financial reports and discussing over the phone, he has a passion relief valve consisting of his love for the works of a painter, Lisabel. In fact, he liked her art so much that he fell in love with her and married her. He then became her agentand business partner, and oversaw the recognition of his sweetheart.This produced rapid results. “What I dislike in the arts world though is that we are caught up in an approach of another century.

Gallery owners and museums still have the same attitude towards artists, often exploiting them. Also, the marketing hasn’t changed in a very long time. I came to the conclusion that we must change all this.”And when Glenn recognizes the need for change, things change quickly. Here is proof. He initiated the decoration of a Lamborghiniand the underside of a Steinway piano top. This adds value to each of these painted luxury objects. These days,Galerie Lisabel, which islocated on Ottawa Street, in upscale Griffintown, has become a prime venue.

Corporate functions are held there regularly.Businesses love to hold cocktails in such a dazzling setting. The works of this immensely talented lady,of rare beauty herself, all have a sensual side to them, whichever the theme. Vivid colours arehighlighted bygloss varnishes. Lisabel’s market rankingtook off, just as the patron wished for. Thus, it now means that owning a Lisabel has become a status symbol.

La Métropole is honoured to count Glenn B. Miller among its ranks, and will make the most of his expert advice. Thanks to him, your public information media, LaMetropole.com, envisions a promising future.And our mentor is thrilled by this universe, since even in finance, communication is vital.

LISABEL.CA

MBG FINANCE