MICHEL ROLLAND, CÉLÈBRE ŒNOLOGUE
En m’inspirant de Raymond Devos, je peux dire : «Michel Rolland existe, je l’ai rencontré».
Il ne laisse personne indifférent. Pour certains c’est un magicien, un gourou, l’œnologue voyageur qui a transformé le vin français et qui a répandu sa bonne nouvelle dans 14 pays, pour d’autres c’est simplement le diable, celui qui fait des vins amples, ronds, fleuris, fruités, au goût des gens. Ses détracteurs lui reprochent la standardisation du vin, oubliant que les AOC, sont les premiers facteurs de standardisation, et pourtant ils protègent les consommateurs contre la fraude et contribuent à améliorer la qualité des vins.
Photo michel rolland
«Tout ce qui change les habitudes dérange et la viticulture n’échappe pas à cette règle.», dit Rolland. On lui reproche d’avoir en effet bouleversé des habitudes, d’avoir introduit l’utilisation du bois neuf, les vendanges en vert, d’avoir utilisé la micro-oxygénation pour remettre en suspension des particules des lies, permettant au vin d’en récupérer le fruité et les parfums. Pis encore, on lui reproche d’avoir introduit le concept de qualité dans le verre comme une nécessité absolue, écartant au besoin les idées de vin fait au naturel qui donnent parfois des produits médiocres et farfelus. Le dernier reproche à Michel Rolland et non le moindre concerne ses liens affectifs avec Parker, un Américain qui ose juger les vins français et que tous les producteurs souhaitent se faire juger par lui pour pouvoir montrer fièrement leur classement dans leur documentation.
Rolland répond : «Parker a créé un genre qui n’existait pas, la critique du vin. Il a changé le paysage vineux mondial par une approche de la dégustation que personne n’avait avant lui. Il a eu l’idée d’un système de notation, critiqué peut-être, mais c’est le seul qui marche». «Le goût Parker n’existe pas. Il y a un tas de vins que Parker a très bien notés, qui ne sont ni bodybuildés ni sur-alcoolisés.»
Il n’y a pas une seule façon de faire du vin et si Michel Rolland conseille 250 domaines, dont certains sont parmi les plus importants à Bordeaux et dans le monde, cela ne représente qu’une goutte dans un océan qui compte 7,6 millions d’hectares de vigne soit environ 30 000 domaines vinicoles sur la planète! C’est donc avec raison qu’il dit: «Je crois que parler de standardisation c’est stupide»
En tout cas il y a bien un avant Michel Rolland et un après Michel Rolland. Nous étions une grande salle pleine de journalistes à l’accueillir au Restaurant Sinclair lorsqu’il est venu nous présenter les vins qu’il produit en Espagne avec Javier Ruiz de Galarreta.
Galarreta a fondé le groupe Araex-Spanish Fine Wines il y a vingt ans pour réunir des petits et moyens domaines vinicoles de la Rioja Alavesa et il est devenu un des principaux moteurs pour l’élaboration et l’exportation de toute la Dénomination d’Origine Qualifiée Rioja. En 2001 il a ajouté à son portefeuille, une gamme plus large de vins Espagnols.
Il a convaincu Michel Rolland, qui était absent d’Espagne depuis six ans en tant que producteur, de s’associer avec lui pour faire des vins qualitatifs dans la Rioja Alavesa, dans Rueda et à Ribera del Duero.
Michel Rolland qui est conscient que la qualité du vin se fait d’abord dans la vigne a trouvé les terroirs magnifiques et a demandé que le chai soit doté d’un érafloir Osiris suivi d’un tri optique Vistalys qui coûte extrêmement cher mais qui permet l’élimination des fragments herbacés, et de toutes les baies non conformes, soit en raison de leur taille, de leur forme ou de leur couleur, assurant ainsi une qualité de raisin maximale et uniforme.
Photo Javier Ruiz
Toutes leurs bouteilles ont une étiquette sobre à deux couleurs, blanc pour Rolland et brun pour Galarreta.
Nous avons d’abord dégusté le Rolland Galarreta Verdejo 2012, D.O. Rueda, 100% Verdejo, 13° d’alcool.
La vigne est plantée en terrasses à 700 m sur le niveau de la mer, autour du village de La Seca, dans le meilleur terroir de la zone de Rueda. Le terroir est alluvial et pierreux avec des poches de calcaire, qui protège bien la vigne des rigueurs du climat et permet un bon drainage.
Ils appliquent des techniques de viticulture précises pour améliorer le profil organoleptique des raisins et font la cueillette pendant la nuit pour éviter l’oxydation du moût provoquée par la lumière du soleil.
La vinification est minutieuse : macération du mout à froid avec les peaux pendant huit heures, fermentation à température contrôlée, le vin repose sur lies et est élevé dans des fûts de bois français neufs. Le résultat est étonnant.
Une belle robe couleur paille assez soutenue et très cristalline. La macération à froid avec les peaux, la fermentation sur lies à 16 degrés Celcius et l’élevage en bois neuf donnent à ce Verdejo, une grande complexité et une belle intensité d’arômes. On distingue le nard et la valériane, le fruit de la passion, le melon, la pomme, la pêche, le citron et la lime. Dans un deuxième nez on décèle des notes de noix et d’épices douces.
Le Verdejo donne souvent des vins blancs nerveux en bouche, mais ici quoique ce vin soit doté d’une bonne acidité, elle est tempérée par le glycérol. Ces deux éléments se balancent et se fondent dans une longue caresse fruitée et minérale et qui se termine dans une finale persistante. L’amertume typique du Verdejo, devient ici à peine un soupçon et ajoute une impression de légèreté qui invite à un deuxième verre. Ce grand Verdejo s’accorde à merveille avec des fruits de mer, des viandes blanches et certains fromages.
Le Rolland & Galarreta Rueda 2012 blanc, est disponible dans le réseau Spécialité de la SAQ, code 12244889, Prix 21,25$.
Nous avons ensuite dégusté le R&G Tempranillo 2011, Dénomination De Origen Calificada Rioja, 100% Tempranillo, 14° d’alcool. Le raisin provient de la Rioja Alavesa et a été cultivé à une altitude qui oscille entre 450 et 700 mètres. Après une longue macération dans des barriques en chêne à basse altitude en submergeant le chapeau, le moût est pompé par gravité pour obtenir une extraction parfaite des polyphénols.
Le pressurage est effectué par des presses pneumatiques et une presse verticale, la fermentation malolactique est effectuée dans des barriques de chêne américain neuves. Pour favoriser la fermentation malolactique et stabiliser le vin ils utilisent le froid et le chaud de façon alternative à des moments précis. Le vin vieillit pendant 10 mois en chêne américain neuf.
Robe rouge cerise foncé, très concentré. Arômes de réglisse, de fraise, de framboise et de groseille bien mûrs; des notes épicées. Un deuxième nez nous livre des arômes de fruits secs et un soupçon de café, de chocolat et de vanille.
En bouche c’est un vin généreux, avec une jolie fraicheur et des tanins ronds et élégants; un bel équilibre entre les éléments, tout en restant puissant. Il a un goût de fruits rouges en compote, une pointe fumée, un soupçon de chocolat, et une longue finale extrêmement gourmande.
Ce vin de gastronomie est le compagnon idéal des viandes rouges : bœuf et surtout agneau et cabri, très bon avec les mets mijotés, délicieux avec les pâtes, avec les champignons et avec une assiette de fromages. Un régal naturellement en apéritif avec du jambon serrano bien sec. Le servir de préférence à 17°C.
Le R&G Tempranillo 2011, D. O. C. Rioja sera disponible dans le réseau de la SAQ Spécialité en mars au coût de 22.90$.
Photo vins rolland
Nous avons finalement dégusté le R & G Tempranillo, Merlot 2010, D.O Ribera del Duero, 14,5° d’alcool.
Les vignobles qui produisent le raisin sont situés à 915 mètres d’altitude et sont les plus élevés de la Ribera del Duero. Les sols rocheux et calcaires sont pauvres et contribuent à assurer l’acidité, l’équilibre et le fruité du vin.
L’année 2010 a été une année exceptionnelle pour la vigne à Ribera del Duero. À la vinification, le raisin a été maintenu dans des conditions contrôlées et a subi une longue macération à basse température dans des barriques de chêne, en submergeant le chapeau. Le moût a été pompé par gravité afin d’obtenir une extraction optimale des polyphénols. Des presses pneumatiques et une presse verticale ont été employées pour le pressurage, après quoi la fermentation malolactique a été réalisée dans des barriques de chêne français neuf. Le vin a vieilli pendant 10 mois dans des fûts de chêne français neuf et a été mis en bouteille sans filtration.
Robe rouge grenat intense et soutenu. Arômes de fleur de lavande, d’épices : cannelle, cardamone, de cerise, de groseille, de fraise de bois, de framboise, un peu de cuir. Commencent à apparaître des notes de sous-bois. En bouche une texture souple, joyeuse et équilibrée. Des tanins veloutés qui se fondent avec l’acidité et l’alcool. Un corps charnu, gourmand et plein d’élégance, une grande finale qui se termine dans le plaisir.
Ce vin très gourmand demande des viandes rouges, du gibier, des ragoûts; il est excellent avec les fromages à pâte dure comme le Manchego, le Comté, et le Gruyère de grotte. Le servir autour de 17°C.
Le Rolland & Galarreta Ribera del Duero 2010, rouge est disponible sur le réseau Spécialité de la SAQ, code 12258391 Prix 26,70 $.
Après la dégustation Michel Rolland, l’œnologue le plus célèbre du monde, est reparti vers New York. Il était attendu par plus de mille personnes.
MICHEL ROLLAND [email protected]
AREX THE GRAND WINES www.thegrandwines.com
Javier Ruiz de Galarreta
Sébastien Richard [email protected]
Représentés au Québec par Vins Philippe Dandurand Wines Inc. www.vinsdandurand.com
Vanessa Besnard, coordonnatrice Marketing [email protected]
Tél.: 514-932-262e, poste 293
Andréane Rousseau, coordonatrice Marketing
Tél.: 514-932-2626, poste 298
Louis-Philippe Pelletier, chef de Marque
Tel. (514) 932-2626 ext 285
SAMY RABBAT www.samyrabbat.com
Louis ne pas oublier de relier les liens aux noms auxquels ils se rapportent stp 😉
Il ne laisse personne indifférent. Pour certains c’est un magicien, un gourou, l’œnologue voyageur qui a transformé le vin français et qui a répandu sa bonne nouvelle dans 14 pays, pour d’autres c’est simplement le diable, celui qui fait des vins amples, ronds, fleuris, fruités, au goût des gens. Ses détracteurs lui reprochent la standardisation du vin, oubliant que les AOC, sont les premiers facteurs de standardisation, et pourtant ils protègent les consommateurs contre la fraude et contribuent à améliorer la qualité des vins.
«Tout ce qui change les habitudes dérange et la viticulture n’échappe pas à cette règle.», dit Rolland. On lui reproche d’avoir en effet bouleversé des habitudes, d’avoir introduit l’utilisation du bois neuf, les vendanges en vert, d’avoir utilisé la micro-oxygénation pour remettre en suspension des particules des lies, permettant au vin d’en récupérer le fruité et les parfums. Pis encore, on lui reproche d’avoir introduit le concept de qualité dans le verre comme une nécessité absolue, écartant au besoin les idées de vin fait au naturel qui donnent parfois des produits médiocres et farfelus. Le dernier reproche à Michel Rolland et non le moindre concerne ses liens affectifs avec Parker, un Américain qui ose juger les vins français et que tous les producteurs souhaitent se faire juger par lui pour pouvoir montrer fièrement leur classement dans leur documentation.
Rolland répond : «Parker a créé un genre qui n’existait pas, la critique du vin. Il a changé le paysage vineux mondial par une approche de la dégustation que personne n’avait avant lui. Il a eu l’idée d’un système de notation, critiqué peut-être, mais c’est le seul qui marche». «Le goût Parker n’existe pas. Il y a un tas de vins que Parker a très bien notés, qui ne sont ni bodybuildés ni sur-alcoolisés.»
Il n’y a pas une seule façon de faire du vin et si Michel Rolland conseille 250 domaines, dont certains sont parmi les plus importants à Bordeaux et dans le monde, cela ne représente qu’une goutte dans un océan qui compte 7,6 millions d’hectares de vigne soit environ 30 000 domaines vinicoles sur la planète! C’est donc avec raison qu’il dit: «Je crois que parler de standardisation c’est stupide»
En tout cas il y a bien un avant Michel Rolland et un après Michel Rolland. Nous étions une grande salle pleine de journalistes à l’accueillir au Restaurant Sinclair lorsqu’il est venu nous présenter les vins qu’il produit en Espagne avec Javier Ruiz de Galarreta.
Galarreta a fondé le groupe Araex-Spanish Fine Wines il y a vingt ans pour réunir des petits et moyens domaines vinicoles de la Rioja Alavesa et il est devenu un des principaux moteurs pour l’élaboration et l’exportation de toute la Dénomination d’Origine Qualifiée Rioja. En 2001 il a ajouté à son portefeuille, une gamme plus large de vins Espagnols.
Il a convaincu Michel Rolland, qui était absent d’Espagne depuis six ans en tant que producteur, de s’associer avec lui pour faire des vins qualitatifs dans la Rioja Alavesa, dans Rueda et à Ribera del Duero.
Michel Rolland qui est conscient que la qualité du vin se fait d’abord dans la vigne a trouvé les terroirs magnifiques et a demandé que le chai soit doté d’un érafloir Osiris suivi d’un tri optique Vistalys qui coûte extrêmement cher mais qui permet l’élimination des fragments herbacés, et de toutes les baies non conformes, soit en raison de leur taille, de leur forme ou de leur couleur, assurant ainsi une qualité de raisin maximale et uniforme.
Toutes leurs bouteilles ont une étiquette sobre à deux couleurs, blanc pour Rolland et brun pour Galarreta.
Nous avons d’abord dégusté le Rolland Galarreta Verdejo 2012, D.O. Rueda, 100% Verdejo, 13° d’alcool.
La vigne est plantée en terrasses à 700 m sur le niveau de la mer, autour du village de La Seca, dans le meilleur terroir de la zone de Rueda. Le terroir est alluvial et pierreux avec des poches de calcaire, qui protège bien la vigne des rigueurs du climat et permet un bon drainage.
Ils appliquent des techniques de viticulture précises pour améliorer le profil organoleptique des raisins et font la cueillette pendant la nuit pour éviter l’oxydation du moût provoquée par la lumière du soleil.
La vinification est minutieuse : macération du mout à froid avec les peaux pendant huit heures, fermentation à température contrôlée, le vin repose sur lies et est élevé dans des fûts de bois français neufs. Le résultat est étonnant.
Une belle robe couleur paille assez soutenue et très cristalline. La macération à froid avec les peaux, la fermentation sur lies à 16 degrés Celcius et l’élevage en bois neuf donnent à ce Verdejo, une grande complexité et une belle intensité d’arômes. On distingue le nard et la valériane, le fruit de la passion, le melon, la pomme, la pêche, le citron et la lime. Dans un deuxième nez on décèle des notes de noix et d’épices douces.
Le Verdejo donne souvent des vins blancs nerveux en bouche, mais ici quoique ce vin soit doté d’une bonne acidité, elle est tempérée par le glycérol. Ces deux éléments se balancent et se fondent dans une longue caresse fruitée et minérale et qui se termine dans une finale persistante. L’amertume typique du Verdejo, devient ici à peine un soupçon et ajoute une impression de légèreté qui invite à un deuxième verre. Ce grand Verdejo s’accorde à merveille avec des fruits de mer, des viandes blanches et certains fromages.
Le Rolland & Galarreta Rueda 2012 blanc, est disponible dans le réseau Spécialité de la SAQ, code 12244889, Prix 21,25$.
Nous avons ensuite dégusté le R&G Tempranillo 2011, Dénomination De Origen Calificada Rioja, 100% Tempranillo, 14° d’alcool. Le raisin provient de la Rioja Alavesa et a été cultivé à une altitude qui oscille entre 450 et 700 mètres. Après une longue macération dans des barriques en chêne à basse altitude en submergeant le chapeau, le moût est pompé par gravité pour obtenir une extraction parfaite des polyphénols.
Le pressurage est effectué par des presses pneumatiques et une presse verticale, la fermentation malolactique est effectuée dans des barriques de chêne américain neuves. Pour favoriser la fermentation malolactique et stabiliser le vin ils utilisent le froid et le chaud de façon alternative à des moments précis. Le vin vieillit pendant 10 mois en chêne américain neuf.
Robe rouge cerise foncé, très concentré. Arômes de réglisse, de fraise, de framboise et de groseille bien mûrs; des notes épicées. Un deuxième nez nous livre des arômes de fruits secs et un soupçon de café, de chocolat et de vanille.
En bouche c’est un vin généreux, avec une jolie fraicheur et des tanins ronds et élégants; un bel équilibre entre les éléments, tout en restant puissant. Il a un goût de fruits rouges en compote, une pointe fumée, un soupçon de chocolat, et une longue finale extrêmement gourmande.
Ce vin de gastronomie est le compagnon idéal des viandes rouges : bœuf et surtout agneau et cabri, très bon avec les mets mijotés, délicieux avec les pâtes, avec les champignons et avec une assiette de fromages. Un régal naturellement en apéritif avec du jambon serrano bien sec. Le servir de préférence à 17°C.
Le R&G Tempranillo 2011, D. O. C. Rioja sera disponible dans le réseau de la SAQ Spécialité en mars au coût de 22.90$.
Nous avons finalement dégusté le R & G Tempranillo, Merlot 2010, D.O Ribera del Duero, 14,5° d’alcool.
Les vignobles qui produisent le raisin sont situés à 915 mètres d’altitude et sont les plus élevés de la Ribera del Duero. Les sols rocheux et calcaires sont pauvres et contribuent à assurer l’acidité, l’équilibre et le fruité du vin.
L’année 2010 a été une année exceptionnelle pour la vigne à Ribera del Duero. À la vinification, le raisin a été maintenu dans des conditions contrôlées et a subi une longue macération à basse température dans des barriques de chêne, en submergeant le chapeau. Le moût a été pompé par gravité afin d’obtenir une extraction optimale des polyphénols. Des presses pneumatiques et une presse verticale ont été employées pour le pressurage, après quoi la fermentation malolactique a été réalisée dans des barriques de chêne français neuf. Le vin a vieilli pendant 10 mois dans des fûts de chêne français neuf et a été mis en bouteille sans filtration.
Robe rouge grenat intense et soutenu. Arômes de fleur de lavande, d’épices : cannelle, cardamone, de cerise, de groseille, de fraise de bois, de framboise, un peu de cuir. Commencent à apparaître des notes de sous-bois. En bouche une texture souple, joyeuse et équilibrée. Des tanins veloutés qui se fondent avec l’acidité et l’alcool. Un corps charnu, gourmand et plein d’élégance, une grande finale qui se termine dans le plaisir.
Ce vin très gourmand demande des viandes rouges, du gibier, des ragoûts; il est excellent avec les fromages à pâte dure comme le Manchego, le Comté, et le Gruyère de grotte. Le servir autour de 17°C.
Le Rolland & Galarreta Ribera del Duero 2010, rouge est disponible sur le réseau Spécialité de la SAQ, code 12258391 Prix 26,70 $.
Après la dégustation Michel Rolland, l’œnologue le plus célèbre du monde, est reparti vers New York. Il était attendu par plus de mille personnes.
Javier Ruiz de Galarreta
Représentés au Québec par Vins Philippe Dandurand Wines Inc.
Vanessa Besnard, coordonnatrice Marketing
Tél.: 514-932-262, poste 293
Andréane Rousseau, coordonatrice Marketing
Tél.: 514-932-2626, poste 298
Louis-Philippe Pelletier, chef de Marque
Tél.: 514-932-2626, poste 285