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Par Marc André Morel
Tout récemment, je terminais une séance de coaching pour aider Louki – de son vrai nom, 25 ans, à préciser sa mission personnelle et le guider dans son choix de carrière. Pour l’aider à mieux saisir les rouages de ses rituels de visualisation à pratiquer dorénavant, je lui ai donné mon exemple personnel, tout à fait du même thème.
Alors que j’étais moi-même dans la vingtaine, sans même avoir étudié les concepts de création visualisatrice, immanquablement, au coucher, je tournais l’oreiller contre moi, fermais les yeux, et, sans efforts, la même image se reproduisait. En tant qu’observateur, j’étais assis à la première rangée d’une salle de conférence, à droite. Malgré l’éclairage tamisé, je me reconnaissais sur scène, veston, gestuelle ample et naturelle, en plein alignement avec ma mission et ma passion : parler en public ! Cela a duré des années. Et chaque jour, je posais une brique de plus dans l’accomplissement de mon rêve à travers mes actions et mes décisions.
Et je me souviens de ce jour, environ sept ans plus tard, en arrivant au centre de congrès où allait se tenir ma conférence pour un client corporatif, je suis entré dans la salle encore vide, et j’ai vu cette scène. Je me suis alors avancé lentement en la fixant des yeux. Et pendant que la responsable de l’hôtel me parlait, j’y ai glissé mis ma main dessus, tel une scène au ralenti. C’était elle que j’avais vue toutes ces années au coucher. J’étais arrivé.
J’expliquais à Louki de commencer par la fin, de se visualiser en tant que chef pâtissier – tel qu’il le souhaitait  – avec tout ce que cela comporte et de faire le chemin vers lui, aujourd’hui. Et c’est  à ce moment là qu’il me sorti cette phrase : « … c’est comme venir se chercher ». C’est exactement ça Louki, on doit tous venir se chercher !
Nous avons tous besoin de nous connecter avec notre destination finale espérée. Mais aussi, de refaire le chemin inverse, jusqu’à nous. Car si Louki, vous ou moi ne faisons que nous concentrer sur notre situation actuelle, c’est exactement cela qui se reproduira, secret de polichinelle.
Par contre, très souvent, lorsque nous visualisons une situation bien précise, nous oublions de connecter avec. L’auteur à succès et conférencier, Dr. Wayne Dyer, répète dans plusieurs de ses programmes la phrase suivante (traduction libre) : « contemplez l’image de vous dans les conditions que vous souhaitez voir se produire ». Et il le répète : « contemplez l’image de vous dans les conditions que vous souhaitez voir se produire »… Ce qui veut dire, selon moi, de faire la connexion avec ce que vous souhaitez devenir et celui ou celle que vous êtes actuellement. 
Commencez par la fin.
Allez vous chercher.
Tout récemment, je terminais une séance de coaching pour aider Louki – de son vrai nom, 25 ans, à préciser sa mission personnelle et le guider dans son choix de carrière. Pour l’aider à mieux saisir les rouages de ses rituels de visualisation à pratiquer dorénavant, je lui ai donné mon exemple personnel, tout à fait du même thème. Alors que j’étais moi-même dans la vingtaine, sans même avoir étudié les concepts de création visualisatrice, immanquablement, au coucher, je tournais l’oreiller contre moi, fermais les yeux, et, sans efforts, la même image se reproduisait. 
En tant qu’observateur, j’étais assis à la première rangée d’une salle de conférence, à droite. Malgré l’éclairage tamisé, je me reconnaissais sur scène, veston, gestuelle ample et naturelle, en plein alignement avec ma mission et ma passion : parler en public ! Cela a duré des années. Et chaque jour, je posais une brique de plus dans l’accomplissement de mon rêve à travers mes actions et mes décisions.
Et je me souviens de ce jour, environ sept ans plus tard, en arrivant au centre de congrès où allait se tenir ma conférence pour un client corporatif, je suis entré dans la salle encore vide, et j’ai vu cette scène. Je me suis alors avancé lentement en la fixant des yeux. Et pendant que la responsable de l’hôtel me parlait, j’y ai glissé mis ma main dessus, tel une scène au ralenti. C’était elle que j’avais vue toutes ces années au coucher. J’étais arrivé.
J’expliquais à Louki de commencer par la fin, de se visualiser en tant que chef pâtissier – tel qu’il le souhaitait  – avec tout ce que cela comporte et de faire le chemin vers lui, aujourd’hui. Et c’est  à ce moment là qu’il me sorti cette phrase : « … c’est comme venir se chercher ». C’est exactement ça Louki, on doit tous venir se chercher !
Nous avons tous besoin de nous connecter avec notre destination finale espérée. Mais aussi, de refaire le chemin inverse, jusqu’à nous. Car si Louki, vous ou moi ne faisons que nous concentrer sur notre situation actuelle, c’est exactement cela qui se reproduira, secret de polichinelle.
Par contre, très souvent, lorsque nous visualisons une situation bien précise, nous oublions de connecter avec. L’auteur à succès et conférencier, Dr. Wayne Dyer, répète dans plusieurs de ses programmes la phrase suivante (traduction libre) : « contemplez l’image de vous dans les conditions que vous souhaitez voir se produire ». Et il le répète : « contemplez l’image de vous dans les conditions que vous souhaitez voir se produire »… Ce qui veut dire, selon moi, de faire la connexion avec ce que vous souhaitez devenir et celui ou celle que vous êtes actuellement. 
Commencez par la fin.
Allez vous chercher.