Gérer les paradoxes demande une flexibilité au niveau de l’attitude et du comportement.
Il faut s’adapter aux situations et aux personnes si nous voulons exceller dans le domaine. Pas facile pour certains.
Pourtant, c’est de savoir quand diriger et savoir quand les autres doivent diriger. En période de crise ou de situation difficile, c’est de savoir en même temps faire preuve de flexibilité ou adopter une méthode plus rigide.
Quelle est votre approche? Cela demande encore une fois une flexibilité dans l’approche, de ton et de style avec la capacité de les adapter.
Si vous avez besoin de quitter votre zone de confort, essayez de cultiver le paradoxe dans votre travail. Essayez de vous imposer des tâches qui sortent de la routine.
Peut-être avez-vous besoin d’un modèle? Discutez avec les personnes qui ont de l’expertise. Parlez à des collègues qui proviennent d’entreprises complètement différentes de la vôtre.
Parfois, nous réagissons souvent aux changements comme s’il s’agissait d’une menace. Les émotions et les peurs ressortent. Réagissez avec moins d’intensité. Savoir contrôler nos réactions face aux changements.
Saviez-vous que les 60 premières secondes sont la période initiale de panique? Il semble qu’il faut un peu de temps pour se remettre et ne rien faire. Par la suite, il a été démontré qu’en général, la seconde ou la troisième chose qui nous vient à l’esprit se révèle le meilleur choix pour prendre une décision.