Et c’est justement ce que Raphaël Roberge me rappelle. Il me fait penser à un Back Street Boys qui prend son envol en SOLO !
Tout comme le groupe originaire d’Orlando en Floride, Raphaël possède une très belle voix, qui à mon avis, est exploitée avec un dosage et une similarité propre à ce qui jadis a fait le succès du groupe américain.
La musique qui se dégage de son premier EP est honnête à l’image CLEAN CUT, légèrement REBEL (pas trop) des années ‘90. Une musique dédiée à une clientèle typiquement féminine!
Ce jeune possède un talent indéniable pour l’interprétation et je crois qu’il est très bien parti pour obtenir une belle notoriété auprès de beaucoup de jeunes filles de langue française d’ici et d’ailleurs.
Toutefois, je me permets une petite critique constructive. Je crois que Raphaël augmenterait ses chances de devenir populaire s’il faisait partie d’un trio ou d’un quatuor de chant… tout comme les Back Street Boys. Car dans son style, si on veut sortir de la masse il faut plus qu’une belle voix… il faut un timbre et un style unique. Ce qui n’est pas tout à fait le cas !
En réalité, Raphaël est comme un de ces innombrables nouveaux talents qui tentent de naviguer en solitaire sur un océan de nouvelles musiques où l’originalité tient un rôle majeur en tant que capteur d’attention.
Mais n’étant pas devin, je lui souhaite bon vent et la meilleure des chances au monde. Car en définitive c’est toujours le public qui a le dernier mot dans ce genre d’équation.