Le débat en langue française du Parti libéral du Canada, tenu le lundi 24 février 2025 à Montréal, a mis en lumière les prétendants à la succession de Justin Trudeau. Parmi eux, Frank Baylis s’est distingué face à ses concurrents : Freeland et le parrain Carney, du Trudeau 2.0 ; Karina Gould, rdv dans quatre ans.
La question cruciale : qui pour défendre les intérêts économiques du Canada face à Trump ?
L’enjeu principal du débat portait sur la capacité du futur chef à protéger les intérêts économiques du Canada dans un contexte international marqué par les politiques protectionnistes de Donald Trump. Frank Baylis a su se démarquer en proposant des solutions concrètes, s’appuyant sur son expérience entrepreneuriale, pour affronter ces défis.
Frank Baylis : la révélation de la soirée
Avec une approche franche et directe, Baylis a rejeté la langue de bois, affichant une crédibilité naturelle. Son parcours est éloquent : ingénieur de formation, il a transformé une petite entreprise en une société prospère, créant des centaines d’emplois. Sa maîtrise du français et sa connaissance approfondie du Québec renforcent son engagement envers la défense de la langue française et les droits et libertés.
Les autres candidats : continuité ou renouveau ?
Chrystia Freeland et Mark Carney incarnent la continuité du gouvernement Trudeau, représentants d’une élite politique bien établie à Ottawa. Karina Gould, quant à elle, a démontré du potentiel, mais semble encore en phase d’apprentissage, laissant présager une candidature plus solide dans les années à venir.
Qui est Frank Baylis ?
Fils d’immigrants, Frank Baylis a grandi avec des valeurs de travail acharné et de résilience. Ingénieur de formation, il a fondé et développé plusieurs entreprises prospères, créant des emplois et stimulant l’innovation. Son engagement envers les droits de la personne et son expérience en tant que député de Pierrefonds—Dollard témoignent de sa volonté de servir la communauté et de défendre les intérêts des Canadiens et des Québécois.
Ce débat a mis en évidence la nécessité pour le Parti libéral du Canada de choisir un leader capable de défendre vigoureusement les intérêts du Canada sur la scène internationale. Frank Baylis, par son expérience et son authenticité, apparaît comme une option sérieuse pour incarner ce renouveau.
Pour revivre les moments forts de ce débat, vous pouvez visionner l’enregistrement complet ci-dessous :
Rédacteur en chef de LaMetropole.com. Membre de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec. Président de l'Association des actionnaires de Nemaska, Directeur des études, ÉNAP-Hull. Directeur Culture canadienne en ligne, Patrimoine canadien. Direction des politiques pour 3 Commissaires aux langues officielles. Directeur des services au public, Archives et Bibliothèque Canada. CA de Cité Libre. Conférences pour l'Internet Society : UNESCO-Paris, Washington, la Sorbonne et Yokohama (Japon). Maîtrise en administration publique, ÉNAP. Stage ENA-France. M.A en histoire canadienne, Université de Sherbrooke. Scolarité de doctorat en science politique, UQAM. Droit civil (une année) Université d'Ottawa.
